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Partie 2 : Chenille processionnaire

 



Comme nous l’avons pu évoquer à travers le dernier article, nous avons pu vous présenter d’une manière descriptive l’aspect externe de cette chenille ainsi que son cycle de vie. Pour cette seconde partie, nous allons, vous démontrez les différentes raisons pour que nous considérions la chenille processionnaire comme étant une espèce nuisible, quels sont les risques qu’elle peut nous apporter et comment pourrions-nous faire face à son invasion.

Risque :

L’Homme :  

Considérée comme étant une espèce à risque face à des personnes comme l’Homme ou bien encore les enfants (qui sont souvent curieux / curieuse de pouvoir les caresser les laisser monter sur leurs mains), elle n’hésitera pas à deux fois pour pouvoir se défendre si elle se sent en danger. Le danger ne se résidant pas à travers leurs longues toiles en soie sur les branches d’arbre, elle se concentre essentiellement sur la projection de ses minuscules poils dans les airs. Dîtes-vous que rien que le fait  qu’elles s’envolent dans l’environnement est capable de nous provoquer de nombreuses réactions si nous avons le malheur de rentrer en contact avec celle-ci (et la liste est très longue).

Notre peau, étant très vulnérables face à leurs fins poils, elles sont capables de nous faire provoquer des éruptions et des démangeaisons cutanées sur les différentes zones exposées de notre corps (le visage, le cou, les mains entre autres) jusqu’au stade de développement d’un œdème.  

Ses poils sont aussi capables de nous provoquer des troubles oculaires ou conjonctives dans le cas où les poils rentrent en contact avec les yeux (il est très fortement conseillé de les retirer très rapidement au risque d’aggraver la situation).

Ne s’arrêtant pas seulement à cela, ses poils peuvent aussi attaquer notre système respiratoire et provoquer des éternuements intempestifs, des maux de gorge voire même des crises d’asthme.

Bien sûr, le cas varie selon la santé de la personne, mais les risques restent tout aussi importants face à leurs poils qu’elles rejettent lorsqu’elles sont à la troisième phase de leurs transformations en chenilles. Voilà pourquoi il vaut mieux éviter de manipuler des nids de chenille, même si la présence des chenilles est nulle.

Les animaux domestiques :

Le danger ne se limite pas seulement à l’Homme. En effet, son impact peut aussi s’attaquer aux animaux domestiques comme les chiens, les chats ou bien encore les chevaux. Que ses poils soient directement en contact direct avec la peau de l’animal ou bien encore que celle-ci se fasse lécher avec la langue ou sentir avec leurs museaux, cela peut engendrer un grave gonflement entre ses deux éléments jusqu’à la nécrose. Il est donc vital pour eux d’être rapidement transporté chez le vétérinaire pour un traitement médical.

Les arbres :

Enfin, les dernières victimes de cette espèce restent leurs lieux d’habitat et qui les soutient : les arbres. Que ce soit par le ravage des aiguilles des pins qui va provoquer une défoliation de l’arbre jusqu’à la fragilisation de celle-ci (dans le cas où cet arbre est massivement infesté de chenilles ou bien même par d’autres xylophages comme les mites ou les termites par exemple).

Lutte :

Malgré que cette espèce peut nous causer de grands ennuis, la chenille processionnaire possède de nombreux ennemis naturels aussi et qui sont à notre avantage. Citons par exemple les oiseaux, les insectes, les rongeurs, les virus ou bien encore les champignons. Outre cette méthode naturelle, la méthode des insecticides chimiques peut être aussi une solution, mais qui reste très nocive et ne respecte pas les normes environnementales. La technique de l’échenillage et de l’incinération peut être aussi préconisée sur les petites surfaces.

Néanmoins, si vous préférez qu’une équipe professionnelle s’en charge à votre place, Eradiq se fera un plaisir de vous rendre service.

Pour vous vos besoins en éradication de nuisibles, faites appel aux experts de la société Eradiq:

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