Comme nous l’avons pu évoquer à travers le dernier article, nous avons pu vous présenter d’une manière descriptive l’aspect externe de cette chenille ainsi que son cycle de vie. Pour cette seconde partie, nous allons, vous démontrez les différentes raisons pour que nous considérions la chenille processionnaire comme étant une espèce nuisible, quels sont les risques qu’elle peut nous apporter et comment pourrions-nous faire face à son invasion.
Risque :
L’Homme :
Considérée comme étant une espèce
à risque face à des personnes comme l’Homme ou bien encore les enfants (qui
sont souvent curieux / curieuse de pouvoir les caresser les laisser monter sur
leurs mains), elle n’hésitera pas à deux fois pour pouvoir se défendre si elle
se sent en danger. Le danger ne se résidant pas à travers leurs longues toiles
en soie sur les branches d’arbre, elle se concentre essentiellement sur la
projection de ses minuscules poils dans les airs. Dîtes-vous que rien que le
fait qu’elles s’envolent dans l’environnement
est capable de nous provoquer de nombreuses réactions si nous avons le malheur
de rentrer en contact avec celle-ci (et la liste est très longue).
Notre peau, étant très
vulnérables face à leurs fins poils, elles sont capables de nous faire
provoquer des éruptions et des démangeaisons cutanées sur les différentes zones
exposées de notre corps (le visage, le cou, les mains entre autres) jusqu’au
stade de développement d’un œdème.
Ses poils sont aussi capables de
nous provoquer des troubles oculaires ou conjonctives dans le cas où les poils
rentrent en contact avec les yeux (il est très fortement conseillé de les
retirer très rapidement au risque d’aggraver la situation).
Ne s’arrêtant pas seulement à
cela, ses poils peuvent aussi attaquer notre système respiratoire et provoquer
des éternuements intempestifs, des maux de gorge voire même des crises d’asthme.
Bien sûr, le cas varie selon la
santé de la personne, mais les risques restent tout aussi importants face à
leurs poils qu’elles rejettent lorsqu’elles sont à la troisième phase de leurs
transformations en chenilles. Voilà pourquoi il vaut mieux éviter de manipuler
des nids de chenille, même si la présence des chenilles est nulle.
Les animaux domestiques :
Le danger ne se limite pas
seulement à l’Homme. En effet, son impact peut aussi s’attaquer aux animaux
domestiques comme les chiens, les chats ou bien encore les chevaux. Que ses
poils soient directement en contact direct avec la peau de l’animal ou bien
encore que celle-ci se fasse lécher avec la langue ou sentir avec leurs
museaux, cela peut engendrer un grave gonflement entre ses deux éléments jusqu’à
la nécrose. Il est donc vital pour eux d’être rapidement transporté chez le
vétérinaire pour un traitement médical.
Les arbres :
Enfin, les dernières victimes de
cette espèce restent leurs lieux d’habitat et qui les soutient : les
arbres. Que ce soit par le ravage des aiguilles des pins qui va provoquer une défoliation
de l’arbre jusqu’à la fragilisation de celle-ci (dans le cas où cet arbre est
massivement infesté de chenilles ou bien même par d’autres xylophages comme les
mites ou les termites par exemple).
Lutte :
Malgré que cette espèce peut nous
causer de grands ennuis, la chenille processionnaire possède de nombreux
ennemis naturels aussi et qui sont à notre avantage. Citons par exemple les oiseaux,
les insectes, les rongeurs, les virus ou bien encore les champignons. Outre
cette méthode naturelle, la méthode des insecticides chimiques peut être aussi
une solution, mais qui reste très nocive et ne respecte pas les normes
environnementales. La technique de l’échenillage et de l’incinération peut être
aussi préconisée sur les petites surfaces.
Néanmoins, si vous préférez qu’une
équipe professionnelle s’en charge à votre place, Eradiq se fera un plaisir de
vous rendre service.
Pour vous vos besoins en éradication de
nuisibles, faites appel aux experts de la société Eradiq:
- Eradiq.com
- 01 89 16 60 37
Commentaires
Enregistrer un commentaire