Appartenant à la grande famille
des coléoptères, les charançons du riz sont de très grands fléaux et de
véritables ennemies pour nos jardins en causant de lourds dégâts (à travers vos
potagers et autres vergers). Malgré tout, cela ne veut pas dire qu’il faut se
laisser faire face à ce nuisible. À travers cet article, nous allons vous
présenter toutes les caractéristiques physiques de cet insecte et quels sont
les moyens pour pouvoir l’identifier au sein de votre habitat.
Qui sont donc les charançons du
riz ?
Comme nous vous venons de vous le
dire à travers notre introduction, les charançons du riz sont des insectes appartenant
à l’ordre des coléoptères et plus précisément de la famille des curculionidés. Connu
aussi sous le nom de « balanins », ces insectes ravageurs sont nommés
ainsi en fonction de l’élément auquel ils aiment particulièrement s’attaquer.
Nous pouvons en dénombrer pas moins de 100 000 espèces à l’échelle
mondiale. Parmi les plus connus, nous avons par exemple :
- Charançon du blé (Sitophilus granarius).
- Charançon du riz (Sitophilus oryaze).
- Charançon rouge des palmiers (Rhynchopous ferrugineuse).
- Charançons du pois (Bruchus pisorum).
- Charançon du bananier (Cosmospolites sordidus).
En s’en prenant directement à vos
végétations, mais aussi aux céréales, nous pouvons considérer les charançons de
façon générale être des nuisibles dans notre vie quotidienne en devenant de
vrais fléaux à l’intérieur et à l’extérieur de notre habitat.
Description :
Ayant une espérance de vie
estimée entre 4 à 5 mois, ce nuisible est capable d’atteindre entre 2,5 à 4 mm
de long. Avec un corps recouvert d’une couleur brune, nous pouvons distinguer 4
taches jaunes rougeâtres sur les élytres. Autre information à noter aussi, les
adultes sont capables de voler et cette espèce ressemblera trait pour trait à
un autre acolyte de la même famille : le charançon du maïs « Sitophilus
zeamais » (pour les différencier, seule la méthode de la dissection est
adaptée pour pouvoir y trouver quelques différences).
Reproduction :
Au niveau de la reproduction de
cette espèce, il est essentiel de vous informer que les femelles ont développé
la capacité à pondre habituellement leurs œufs dans des sortes de grains ou
bien tout dans un seul et même grain (et plus d’une larve peut s’y développer à
l’intérieur). D’ailleurs, ces larves à la fois apodes et blanches ne peuvent
pas être repéré dans des échantillons, et ceux, la méthode utilisée (au tamis
ou bien à l’entonnoir Berlese).
Alimentation :
Ce nuisible s’attaque principalement
à tout ce qui est lié aux denrées alimentaires comme le riz, le blé, l’orge, le
pois. Mais celui-ci peut également se retrouver à travers les céréales brutes
transformées ou bien encore les pâtes.
Risque :
En ce qui concerne des risques
liés à la propagation de cette espèce, les charançons du riz s’attaquent
directement aux grains entiers ou de la farine. Par la suite, lorsque les
larves commencent à se développer avec le temps, elles vont alors commercer à
former des sortes de graines ou des fragments dans des produits céréaliers afin
de pouvoir s’abriter. Enfin, le fait que les aliments soient humides est dû au
fait qu’ils ont consommé par les charançons. En effet, son alimentation
engendre alors un échauffement du grain et le grain infesté va alors générer
cette humidité et accompagné de la respiration du nuisible.
Voilà donc ce que nous pouvons
vous dire de façon générale sur les charançons du riz. Dans le cas où vous en
remarquer quelques-uns qui ont l’audace de se déplacer librement dans votre
habitat, n’hésitez pas à faire appel à Eradiq pour vous en débarrasser.
Pour
vous vos besoins en éradication de nuisibles, faites appel aux experts de la
société Eradiq:
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